Des vertus magiques du claquage monétaire sur un moral aussi plat que les fesses de Paris Hilton (ou sa poitrine aussi, d'ailleurs!)

Dring!
Bonjour, entrez, asseyez-vous.
Vous parlez ou je pose les questions?
Moi, mon père, ma soeur, eux.

La pharmacie.
La rue.
Ouf!
Gros poids sur le coeur, plutôt que de chappe de plomb sur le coeur, je parlerais d'une armoire à glace (armoire avec une glace, pas une armoire où on range des cornets de glace... quoi? vaut mieux être sûre de se faire comprendre!).

Devant moi: Zara ou Monop' (rix, pas oly... oui, je collectionne les blagues idiotes aujourd'hui!)
En fille responsable et raisonnable, je choisis monop', et je décide de me faire du bien!

Et comme je suis une fille, ça veut dire foncer dans le rayon hygiène/beauté.
Tout y passe: shampooing, après shampooing, disques de coton (jusque là tout va bien), mousse (là, les garçons commencent à être perdus, sauf les métro sexuels... non, pas les pervers qui se touchent dans le métro en regardant les femmes, les garçons qui s'épilent, se brushent, s'autobrozent, se manucurent, se pédicurent à en faire pâlir leur petite amie de jalousie ^^).
Ensuite (attention, en voilà une grosse): spray sublimateur de boucles/ boucles de rêve (dont on rêve, pas comme celle qu'on a pendant qu'on rêve sinon c'est vachement moche)/ solution anti frisottis "transforme les ondulations et les boucles sans tonus en spirale et anglaises sexy (c'est sexy les anglaises? j'ai toujours trouvé qu'elles avaient les dents trop grandes et saillantes, moi!). Sans alcool, laisse les cheveux ultra-soyeux, au toucher parfaitement naturel".

Vous êtes toujours là?

Ensuite, nettoyant-masque 2-en-1 (visage-toilettes), nettoie en douceur, élimine les impuretés/ amélioe la texture de la peau, unifie le teint, récure les canalisations en profondeur.


Ensuite, revenons à des considérations plus terre-à-terre: eau, biscuits et gauffres pour un bataillon...

Pas raisonnable?
Mais puisque je vous dis que c'est pas pour moi, c'est pour le bataillon! Non mais ho!

Je me dirige chargée comme un mulet vers la gare, je retourne à mon Menton (non, pas de blague sur celle-là, c'est lourd!).

Mais même chargée comme un mulet, je me sentais toute légère!

(Surtout des poches, il faut bien l'avouer :$)